Les lignes de Nazca en vidéo


Une carte céleste ? Un circuit de course de lamas ?? Une piste d'atterrissage pour ovni ??? Choisissez la théorie qui vous plaît pour expliquer les exceptionnelles lignes de Nazca.
A survoler avec nous, embarquement immédiat !

Une capitale dans la brume


Lima, 9-10/7.
Plus notre avion se rapproche de Lima, plus on s’éloigne des Andes dont les sommets enneigés dominent (de loin) les plaines désertiques et poussiéreuses. L’avion entame sa descente et pique vers une mer impressionnante de nuages denses. Le garúa, une épaisse brume marine recouvre la ville et les environs pendant les mois d’hiver (avril-octobre). Une fois sur le sol péruvien, ce plafond blanchâtre, triste mais lumineux, confère une atmosphère toute mélancolique. J’ignore encore ce qu’il y a comme photos à faire mais les clichés ne vont pas être terribles avec un ciel pareil !!

La ville aux 42 cerros


Valparaíso, 2-7/7.
Quand on arrive à Valparaíso par l’autopista de Casablanca, on débarque dans El Plan, la partie “plane“ de la ville et on ne se rend compte ni de l’étendue de l’agglomération, ni de ses reliefs. C’est en prenant un peu de hauteur pour rejoindre notre guesthouse qu’on découvre des milliers de maisonnettes en briques et tôles colorées littéralement accrochées sur les 42 cerros que compte « Valpo ».
Pour grimper dans ces collines, on emprunte un dédale de ruelles étroites, raides et défoncées qui forment un véritable labyrinthe et défia mon sens de l’orientation à plusieurs reprises !

Chili con Carménère !



Santiago, Santa Cruz, 25/6-2/7.
Il y a des villes comme ça où on ne s’attend à rien. On n’a pas d’images particulières en tête avant d’y arriver et du coup, on se laisse totalement surprendre. Santiago est l’une de ces villes !
Derrière les vitres du taxi qui nous emmène de la gare routière au centre ville, on contemple les façades des immeubles début 1900 qui n’ont (presque) rien à envier à ceux de Buenos Aires. Certes, ils sont moins cossus, moins glamour et surtout moins bien entretenus que la capitale voisine mais cela reste une agréable surprise…

Une lichette avant de traverser les Andes ?


Mendoza, 19-25/6.
A la lecture et à la vue des photos des 2 derniers articles, il est facile de comprendre pourquoi on s’est attardé plus longtemps que prévu dans la région de Salta. Il a fallu revoir notre itinéraire en Amérique du Sud et s’il était aisé de faire l’impasse sur Cordoba (dont beaucoup de gens nous ont déconseillé la visite), la décision fut plus difficile au sujet du désert d’Atacama (Salar, Valle de la Luna…) ! A l’origine, on voulait prendre un bus de Salta jusqu’à San Pedro de Atacama, rester quelques jours avant de descendre vers Valparaiso et Santiago pour enfin revenir en Argentine, faire un aller/retour à Mendoza, l’aller en bus et le retour en avion pour apprécier sur terre et dans les airs la traversée de la Cordillère des Andes ! Mais cela aurait été une course folle et on s’est justement promis de prendre davantage de temps à chaque endroit pour en profiter pleinement !

Une route des vins hallucinante


Cachi, Cafayate, 12-17/6.
En revenant du Nord, on fait halte pour la nuit à Salta où nous sommes ravis de retrouver le confort douillet de l’hostal d’Heinz et Monica. Nous sommes d’ailleurs les seuls clients à occuper la maison, car cette époque de l’année est vraiment la saison creuse pour l’hôtellerie régionale en attendant les vacances de juillet des Argentins.

Boutons Sociaux